Titre : | Portrait d'un insoumis : Pepe Beunza : l'odyssée carcérale du premier objecteur de conscience espagnol | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pedro Oliver Olmo, Auteur ; Marie Milesi, Traducteur ; Guillaume Gamblin, Adaptateur | Editeur : | MAN - Mouvement pour une Alternative Non-violente | Année de publication : | 2010 | Collection : | Mémoire pour aujourd'hui | Importance : | 79 p. | Présentation : | photogr. en noir et blanc | ISBN/ISSN/EAN : | 2-9535481-3-6 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) | Catégories : | [OBSARM]Désarmement - Mouvement de paix:Désobéissance civile [OBSARM]Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience
| Tags : | "objection de conscience Espagnol (1971-1974) Pepe Beunza service militaire obligatoire statut d'objecteur de conscience désobéissance civile militarisme franquiste bataillon disciplinaire biographie" | Index. décimale : | 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes | Résumé : | Le récit conté ici témoigne des débuts de la lutte pour l’objection de conscience par la désobéissance civile dans l’Espagne des années 70, alors plongée sous le régime dictatorial et militariste de Franco. Il aura fallu une audace difficilement imaginable au premier homme qui s’est levé dans la foule des appelés pour dire « Non ! » en expliquant les raisons politiques de son choix contestataire et en l’assumant.
Pepe Beunza a dit au revoir à sa famille, puis il est sorti de chez lui, de sa maison bourgeoise et tranquille, au matin du 12 janvier 1971. Comme beaucoup d’autres jeunes appelés sous les drapeaux, il devait se rendre au centre de mobilisation de Valence pour être ensuite emmené dans une caserne.
"J’étais pétrifié. A ce moment-là, je ne savais pas combien d’années de prison m’attendaient mais, pour moi, c’était comme entrer dans un puits sans fond, en ignorant quand je pourrai en sortir."
Ce que Pepe ne savait pas, c’est qu’il allait rester deux ans en prison et accomplir quinze mois de bataillon disciplinaire dans le Sahara. Mais surtout qu’il était le premier de près d’un million d’objecteurs et d’insoumis à se lever contre le service militaire jusqu’à l’abolition de la conscription obligatoire en Espagne en 2002. | Permalink : | http://bibliotheque.obsarm.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5086 |
Portrait d'un insoumis : Pepe Beunza : l'odyssée carcérale du premier objecteur de conscience espagnol [texte imprimé] / Pedro Oliver Olmo, Auteur ; Marie Milesi, Traducteur ; Guillaume Gamblin, Adaptateur . - MAN - Mouvement pour une Alternative Non-violente, 2010 . - 79 p. : photogr. en noir et blanc. - ( Mémoire pour aujourd'hui) . ISSN : 2-9535481-3-6 Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa) Catégories : | [OBSARM]Désarmement - Mouvement de paix:Désobéissance civile [OBSARM]Désarmement - Mouvement de paix:Objection de conscience
| Tags : | "objection de conscience Espagnol (1971-1974) Pepe Beunza service militaire obligatoire statut d'objecteur de conscience désobéissance civile militarisme franquiste bataillon disciplinaire biographie" | Index. décimale : | 355.021 3 Pacifisme et antimilitarisme. Mouvements pacifistes | Résumé : | Le récit conté ici témoigne des débuts de la lutte pour l’objection de conscience par la désobéissance civile dans l’Espagne des années 70, alors plongée sous le régime dictatorial et militariste de Franco. Il aura fallu une audace difficilement imaginable au premier homme qui s’est levé dans la foule des appelés pour dire « Non ! » en expliquant les raisons politiques de son choix contestataire et en l’assumant.
Pepe Beunza a dit au revoir à sa famille, puis il est sorti de chez lui, de sa maison bourgeoise et tranquille, au matin du 12 janvier 1971. Comme beaucoup d’autres jeunes appelés sous les drapeaux, il devait se rendre au centre de mobilisation de Valence pour être ensuite emmené dans une caserne.
"J’étais pétrifié. A ce moment-là, je ne savais pas combien d’années de prison m’attendaient mais, pour moi, c’était comme entrer dans un puits sans fond, en ignorant quand je pourrai en sortir."
Ce que Pepe ne savait pas, c’est qu’il allait rester deux ans en prison et accomplir quinze mois de bataillon disciplinaire dans le Sahara. Mais surtout qu’il était le premier de près d’un million d’objecteurs et d’insoumis à se lever contre le service militaire jusqu’à l’abolition de la conscription obligatoire en Espagne en 2002. | Permalink : | http://bibliotheque.obsarm.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5086 |
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