Titre : | La violence de guerre 1914-1945 : approches comparées des deux conflits mondiaux | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Stéphane Audoin-Rouzeau, Editeur scientifique ; Annette Becker, Editeur scientifique ; Christian Ingrao, Editeur scientifique ; Henry Rousso, Editeur scientifique | Editeur : | Bruxelles [Belgique] : Editions Complexe | Année de publication : | 2002 | Collection : | Histoires du temps présent | Importance : | 259 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-87027-911-3 | Note générale : | Index | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | [OBSARM]Conflits:Deuxième guerre mondiale [OBSARM]Conflits:Ecrits sur la guerre - Ecrits stratégiques [OBSARM]Conflits:Première guerre mondiale
| Tags : | "conflit violences de guerre gestion des conflits recours à la force première guerre mondiale (1914-1918) seconde guerre mondiale (1939-1945) guerres révolutionnaires victimes prisonniers de guerre soviétiques populations civiles déplacements des population génocide traumatisme de guerre" | Index. décimale : | 355.02 Guerres et activités militaires | Résumé : | La chute du Mur de Berlin a changé tout autant notre vision du passé que celle de notre futur. La coupure de 1945, inaugurale de la bipolarité du monde, s’est quelque peu estompée au profit d’une coupure plus ancienne, parfois sous-estimée, celle de 1914, un effet de perspective qui a relancé l’intérêt sur la Première Guerre mondiale. Partant de ce constat, une équipe internationale d’historiens, animée par le Centre de recherche de l’Historial de Péronne et l’Institut d’histoire du temps présent, a cherché à repenser autrement l’histoire sociale, culturelle et anthropologique des deux guerres mondiales, en s’attachant à mettre en lumière les comparaisons et filiations possibles, le poids des héritages comme la « brutalisation » ou la « banalisation », l’écho et la mémoire de la Grande Guerre dans la Seconde Guerre mondiale, trop souvent abordée depuis quelques années sous l’angle exclusif du Génocide.
L’étude s’est attachée à comprendre la « violence de guerre ». Non pas la guerre comme violence, mais les différentes modalités de violences que ces deux guerres-là ont engendrées : violences anticipées, telles les constructions de la figure de l’ennemi, violences infligées, subies ou observées, violences remémorées ou refoulées. Elle s’intéresse aux acteurs : combattants et civils ; hommes et femmes ; bourreaux, victimes et témoins ; individus, groupes et foules. Elle s’intéresse aux lieux : le champ de bataille, la ville, les camps. Elle s’intéresse aux liens entre violence de guerre et violence politique. Menée à plusieurs voix, de part et d’autre du 11 septembre 2001, cette étude centrée sur 1914-1945, a l’ambition de donner une perspective longue aux phénomènes de violences extrêmes. | Permalink : | http://bibliotheque.obsarm.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2826 |
La violence de guerre 1914-1945 : approches comparées des deux conflits mondiaux [texte imprimé] / Stéphane Audoin-Rouzeau, Editeur scientifique ; Annette Becker, Editeur scientifique ; Christian Ingrao, Editeur scientifique ; Henry Rousso, Editeur scientifique . - Editions Complexe, 2002 . - 259 p.. - ( Histoires du temps présent) . ISBN : 978-2-87027-911-3 Index Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | [OBSARM]Conflits:Deuxième guerre mondiale [OBSARM]Conflits:Ecrits sur la guerre - Ecrits stratégiques [OBSARM]Conflits:Première guerre mondiale
| Tags : | "conflit violences de guerre gestion des conflits recours à la force première guerre mondiale (1914-1918) seconde guerre mondiale (1939-1945) guerres révolutionnaires victimes prisonniers de guerre soviétiques populations civiles déplacements des population génocide traumatisme de guerre" | Index. décimale : | 355.02 Guerres et activités militaires | Résumé : | La chute du Mur de Berlin a changé tout autant notre vision du passé que celle de notre futur. La coupure de 1945, inaugurale de la bipolarité du monde, s’est quelque peu estompée au profit d’une coupure plus ancienne, parfois sous-estimée, celle de 1914, un effet de perspective qui a relancé l’intérêt sur la Première Guerre mondiale. Partant de ce constat, une équipe internationale d’historiens, animée par le Centre de recherche de l’Historial de Péronne et l’Institut d’histoire du temps présent, a cherché à repenser autrement l’histoire sociale, culturelle et anthropologique des deux guerres mondiales, en s’attachant à mettre en lumière les comparaisons et filiations possibles, le poids des héritages comme la « brutalisation » ou la « banalisation », l’écho et la mémoire de la Grande Guerre dans la Seconde Guerre mondiale, trop souvent abordée depuis quelques années sous l’angle exclusif du Génocide.
L’étude s’est attachée à comprendre la « violence de guerre ». Non pas la guerre comme violence, mais les différentes modalités de violences que ces deux guerres-là ont engendrées : violences anticipées, telles les constructions de la figure de l’ennemi, violences infligées, subies ou observées, violences remémorées ou refoulées. Elle s’intéresse aux acteurs : combattants et civils ; hommes et femmes ; bourreaux, victimes et témoins ; individus, groupes et foules. Elle s’intéresse aux lieux : le champ de bataille, la ville, les camps. Elle s’intéresse aux liens entre violence de guerre et violence politique. Menée à plusieurs voix, de part et d’autre du 11 septembre 2001, cette étude centrée sur 1914-1945, a l’ambition de donner une perspective longue aux phénomènes de violences extrêmes. | Permalink : | http://bibliotheque.obsarm.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2826 |
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