Titre : | Les Guerres des germes | Titre original : | Biohazard | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Ken Alibek, Auteur ; Stephen Handelman, Collaborateur ; Jean Charles Provost, Traducteur | Editeur : | Paris [France] : Presses de la Cité | Année de publication : | 1999 | Collection : | Document | Importance : | 442 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-258-05345-8 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Catégories : | [OBSARM]Armes:Recherches
| Tags : | "armes biologiques armes bactériologiques virus URSS guerre froide production prolifération arsenaux" | Index. décimale : | 358.38 Guerres biologiques | Résumé : | Le péril nucléaire ? Le réchauffement de la planète ? Le trou dans la couche d'ozone ? Tout cela n'est rien comparé à ce que les Soviétiques mettaient au point dans leurs laboratoires secrets camouflés sous le couvert d'innocentes firmes pharmaceutiques : une guerre biologique à grande échelle où les armes avaient pour noms anthrax, peste bubonique, virus Ebola, variole, tous ces germes pouvant équiper aisément les missiles intercontinentaux pointés sur l'Europe occidentale et les Etats-Unis. Ce programme, l'un des secrets les mieux préservés de l'histoire de la guerre froide, atteignit son point culminant en 1988, alors que Gorbatchev était au pouvoir. Il employait à l'époque 60 000 personnes réparties sur plusieurs dizaines de sites clandestins, avec un budget dépassant le milliard de dollars. Kanatjan Alibekov en était le chef. Il fit défection quelques années plus tard pour émigrer aux Etats-Unis, où il prit le nom de Ken Alibek. C'est son expérience qu'il raconte dans cet étonnant document. Truffé de révélations, celui-ci s'accompagne d'une mise en garde : à en croire Alibek, qui a conservé des sources d'information dans son pays natal, la Russie s'est contentée de mettre en sommeil cet arsenal diabolique. Et les savants qui ont conçu les germes tueurs sont prêts à répondre aux sollicitations empressées de dictateurs, ou de pays comme la Chine, très interressés. Car les microbes, ce n'est ni cher ni encombrant, et cela peut anéantir des continents entiers. | Permalink : | http://bibliotheque.obsarm.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2583 |
Les Guerres des germes = Biohazard [texte imprimé] / Ken Alibek, Auteur ; Stephen Handelman, Collaborateur ; Jean Charles Provost, Traducteur . - Presses de la Cité, 1999 . - 442 p.. - ( Document) . ISBN : 978-2-258-05345-8 Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Catégories : | [OBSARM]Armes:Recherches
| Tags : | "armes biologiques armes bactériologiques virus URSS guerre froide production prolifération arsenaux" | Index. décimale : | 358.38 Guerres biologiques | Résumé : | Le péril nucléaire ? Le réchauffement de la planète ? Le trou dans la couche d'ozone ? Tout cela n'est rien comparé à ce que les Soviétiques mettaient au point dans leurs laboratoires secrets camouflés sous le couvert d'innocentes firmes pharmaceutiques : une guerre biologique à grande échelle où les armes avaient pour noms anthrax, peste bubonique, virus Ebola, variole, tous ces germes pouvant équiper aisément les missiles intercontinentaux pointés sur l'Europe occidentale et les Etats-Unis. Ce programme, l'un des secrets les mieux préservés de l'histoire de la guerre froide, atteignit son point culminant en 1988, alors que Gorbatchev était au pouvoir. Il employait à l'époque 60 000 personnes réparties sur plusieurs dizaines de sites clandestins, avec un budget dépassant le milliard de dollars. Kanatjan Alibekov en était le chef. Il fit défection quelques années plus tard pour émigrer aux Etats-Unis, où il prit le nom de Ken Alibek. C'est son expérience qu'il raconte dans cet étonnant document. Truffé de révélations, celui-ci s'accompagne d'une mise en garde : à en croire Alibek, qui a conservé des sources d'information dans son pays natal, la Russie s'est contentée de mettre en sommeil cet arsenal diabolique. Et les savants qui ont conçu les germes tueurs sont prêts à répondre aux sollicitations empressées de dictateurs, ou de pays comme la Chine, très interressés. Car les microbes, ce n'est ni cher ni encombrant, et cela peut anéantir des continents entiers. | Permalink : | http://bibliotheque.obsarm.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2583 |
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